par Anne Lun 2 Nov - 23:20
Oui Roger, je l'avais lu mais je ne suis pas sûre que le blog Yoplait soit très équitable dans ses affirmations ...
Ce qui m'avait paru interessant dans l'article Inra en date de 2006, c'est ce passage
Pour comprendre comment les bactéries lactiques réagissent à cet environnement digestif complexe, il faut pouvoir disposer de modèles animaux assez proches de l'homme et d'outils de biologie moléculaire permettant d'étudier la physiologie bactérienne.
Le microbiote dominant de l'homme est très différent de celui des principales espèces animales domestiquées. Par exemple, les rongeurs possèdent un microbiote dominant riche en lactobacilles alors que ceux-ci sont détectés en petit nombre chez l'homme. C'est pourquoi des modèles de rongeurs, initialement sans germe, puis colonisés avec un microbiote humain sont développés à l'INRA de Jouy-en-Josas. Chez ces animaux maintenus sous bulle sans contact avec des contaminants extérieurs, l'équilibre des genres microbiens est proche de celui de l'homme. Les animaux sans germes peuvent aussi être utilisés pour étudier l'adaptation d'une souche en absence de tout autre germe ainsi que les effets qu'elle induit sur la physiologie de son hôte.
Grâce à ces modèles animaux, les chercheurs de l'INRA ont pu étudier la survie d'une souche de Lactobacillus casei dans le tractus intestinal. Ils ont montré que non seulement ce probiotique était capable de survivre, mais également qu'il était capable de moduler son métabolisme pour s'adapter à l'environnement digestif de l'homme.
En lisant celà, je me dis, comparons ce qui est comparable et réclamons que des études soient réalisées au plus vite sur les ressemblances homme/ poulet .
Nan, pas ce poulet là !