C'est pas une compétition qui me branche vraiment.
Ces gens là vivent sur une autre planète.
Avec des salaires d'un niveau qui donne parfois le vertige et des médias qui sont mobilisés 24/24 pour couvrir ces matchs de la honte, nous pourrions être en droit d'attendre de nos joueurs qu'ils mouillent leurs maillots et jouent collectif au lieu de privilégier leurs carrières individuelles et pour se justifier proférer des insultes à l'endroit d'un dirigeant qui les a sélectionné et donc les a valorisés. .
Rien de tout cela ne grandit notre pays.
On passe sous silence la gigantesque marée noire qui ne trouve pas d'issue à l'approche des ouragans et les autres évênements plus importants.
En attendant, nous Français sommes ridiculisés et je le regrette beaucoup.
Pourtant l'appel du 18 juin a été fort de la part de l'entraineur national. Il n'est pas de Gaulle, certes, mais il avait pourtant tous les moyens de communication pour faire entendre raison à sa bande.
Je n'ai aucun grief à opposer à notre entraineur national alors que tout le monde s'acharne sur lui en ce moment. Normal, article 5, il en faut. Tout le monde le désigne comme le responsable de ce fiasco. Pourtant rappelons le, ce n'est pas lui qui tape dans le Ballon. Mais dans l'armée on dit toujours que les gens exécutent comme ils sont commandés. Alors le chef devra payer.
Je note toutefois que le nouveau chef avait déjà été désigné comme étant le remplaçant de Domenech après le mondial.
Alors soit on savait que tout ce qui arrive en ce moment allait arriver et auquel cas il n'y a pas que Domenech à empaler. Soit on ne pouvait le prévoir et auquel cas, il faut revoir les grilles salariales de nos " héros " .
Il y a ceux qui font et défont la grandeur de notre pays.
Domenech gère une bande de gamins qui attendaient fébrilement ( souvenez vous en ) d'être sur la liste des 23 participants au mondial. Ils l'ont été et le résultat n'est pas à la hauteur des attentes. Mauvais choix de l'entraineur, mauvais joueurs... Chacun appréciera.
On permet à ces joueurs de foot de se payer une voiture de luxe tous les trois jours alors qu'ils n'ont qu'une hâte, rentrer à la maison pour aller voir les Zahia et autres fifilles aux seins ronds.
C'est pas très beau tout ça !
Rien à voir avec une bonne entente familiale comme on en a connu avec les zizou et autres joueurs de la folle équipée de 1998.
Rien à voir non plus avec les motards de la famille Bosson dont on a vu les succès s'enchainer. Pas assez de place sur les podiums pour les autres. Ils rafflent tout.
L'union fait la force et c'est ce qui manque aux gens de notre pays et pour l'occasion à nos joueurs de foot.
Lisez cet article que j'ai trouvé ce matin.
Il en dit long sur le pourquoi du comment on en est arrivé là.
C'est dans cette ambiance de franche camaraderie qu'ils s'apprètent à rentrer en France pour continuer.
Mais continuer quoi ?
Nos jeunes s'identifient à ces footballeurs. Ils sont une part de leur rêve.
Alors ils vont rêver à quoi demain dans un pays où ils n'ont pas de travail et qui oblige les anciens à travailler plus en attendant qu'ils veuillent céder leurs places aux désoeuvrés.
Le poids des maux
L'Equipe rapporte l'accrochage qui aurait eu lieu entre Anelka et Domenech à la mi-temps du match face au Mexique. Le langage est vert, très vert.
Clash entre Nicolas Anelka et Raymond Domenech.
L'Equipe plonge samedi dans les coulisses du noir France-Mexique. Et en ressort avec de peu ragoutants instantanés. Atmosphère, atmosphère...
Même entre guillemets, il est plutôt rare de lire ce genre de choses à la «une» d'un journal. Les révélations de L'Equipe sur l'insulte d'Anelka à Domenech à la mi-temps de France-Mexique, jeudi (0-2), ont même gêné les journalistes des radios, samedi à l'heure des revues de presse matinales. Difficile de prononcer certains mots au petit déjeuner, il y a des formules à éviter devant des oreilles familiales. «Disons que c'est une version sans fard de l'expression "Va te faire voir"» a édulcoré l'un d'entre eux pour évoquer sans la citer exactement l'incroyable réplique du joueur de l'équipe de France à son sélectionneur. Cette scène, mais aussi deux autres instantanés saisis par les reporters de L'Equipe après la rencontre, en disent long sur l'ambiance qui règne dans le vestiaire en Afrique du Sud. En voici un résumé.
1) L'INSULTE D'ANELKA.
C'est la mi-temps de France-Mexique. Les Bleus rentrent au vestiaire. Le score est toujours de 0-0. Raymond Domenech reproche d'un ton ferme mais poli à Nicolas Anelka de ne pas rester assez en pointe, de trop "dézoner". Comme l'avant-centre conteste, le sélectionneur menace de le remplacer. C'est alors que fuse l'insulte reproduite à la «une» du journal. «OK, tu sors» dit alors Domenech à Anelka. «Ouais, c'est ça...» conclut le joueur de Chelsea. C'est André-Pierre Gignac qui va disputer la 2e période. Ce que l'on avait pris pour un changement tactique a en fait été dicté par les circonstances, le gros clash dans le vestiaire. L'Equipe raconte ensuite l'épilogue, après la défaite (0-2) et la douche : Anelka souriant, provocateur, «très clairement je-m'en-foutiste» écrivent Damien Degorre et Raphaël Raymond.
2) LE MAJEUR DE GALLAS.
La scène se situe à la fin de la rencontre, dans la zone mixte où se croisent journalistes et acteurs des matches. Florent malouda s'est déjà brièvement arrêté devant la caméra de TF1 pour quelques mots dépités. Au journaliste de la chaîne qui lui tend alors le micro, William Gallas préfère tendre son majeur, un geste «qui ne relève en rien son honneur» écrit L'Equipe.
3) LE MOUVEMENT DE RECUL DE GOURCUFF.
Confirmation du mépris que certains "cadres" de l'équipe de France, Franck Ribéry et Nicolas Anelka en tête, nourrissent à l'endroit de Yoann Gourcuff et des effets que leur pression exercent sur le Girondin. Toujours la zone mixte. Gourcuff est en train de répondre aux journalistes lorsque déboulent ses deux "amis". L'Equipe raconte : «Quand Gourcuff aperçoit le milieu du Bayern Munich, l'image est saisissante : il évite de croiser son regard frondeur et se colle un peu plus contre la barrière pour le laisser passer comme le premier de la classe fait place au caïd du collège par peur de prendre une baffe derrière la tête.»
Source:
http://news.fr.msn.com/sport/football/coupe-du-monde/article.aspx?cp-documentid=153831422
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Ces gens là vivent sur une autre planète.
Avec des salaires d'un niveau qui donne parfois le vertige et des médias qui sont mobilisés 24/24 pour couvrir ces matchs de la honte, nous pourrions être en droit d'attendre de nos joueurs qu'ils mouillent leurs maillots et jouent collectif au lieu de privilégier leurs carrières individuelles et pour se justifier proférer des insultes à l'endroit d'un dirigeant qui les a sélectionné et donc les a valorisés. .
Rien de tout cela ne grandit notre pays.
On passe sous silence la gigantesque marée noire qui ne trouve pas d'issue à l'approche des ouragans et les autres évênements plus importants.
En attendant, nous Français sommes ridiculisés et je le regrette beaucoup.
Pourtant l'appel du 18 juin a été fort de la part de l'entraineur national. Il n'est pas de Gaulle, certes, mais il avait pourtant tous les moyens de communication pour faire entendre raison à sa bande.
Je n'ai aucun grief à opposer à notre entraineur national alors que tout le monde s'acharne sur lui en ce moment. Normal, article 5, il en faut. Tout le monde le désigne comme le responsable de ce fiasco. Pourtant rappelons le, ce n'est pas lui qui tape dans le Ballon. Mais dans l'armée on dit toujours que les gens exécutent comme ils sont commandés. Alors le chef devra payer.
Je note toutefois que le nouveau chef avait déjà été désigné comme étant le remplaçant de Domenech après le mondial.
Alors soit on savait que tout ce qui arrive en ce moment allait arriver et auquel cas il n'y a pas que Domenech à empaler. Soit on ne pouvait le prévoir et auquel cas, il faut revoir les grilles salariales de nos " héros " .
Il y a ceux qui font et défont la grandeur de notre pays.
Domenech gère une bande de gamins qui attendaient fébrilement ( souvenez vous en ) d'être sur la liste des 23 participants au mondial. Ils l'ont été et le résultat n'est pas à la hauteur des attentes. Mauvais choix de l'entraineur, mauvais joueurs... Chacun appréciera.
On permet à ces joueurs de foot de se payer une voiture de luxe tous les trois jours alors qu'ils n'ont qu'une hâte, rentrer à la maison pour aller voir les Zahia et autres fifilles aux seins ronds.
C'est pas très beau tout ça !
Rien à voir avec une bonne entente familiale comme on en a connu avec les zizou et autres joueurs de la folle équipée de 1998.
Rien à voir non plus avec les motards de la famille Bosson dont on a vu les succès s'enchainer. Pas assez de place sur les podiums pour les autres. Ils rafflent tout.
L'union fait la force et c'est ce qui manque aux gens de notre pays et pour l'occasion à nos joueurs de foot.
Lisez cet article que j'ai trouvé ce matin.
Il en dit long sur le pourquoi du comment on en est arrivé là.
C'est dans cette ambiance de franche camaraderie qu'ils s'apprètent à rentrer en France pour continuer.
Mais continuer quoi ?
Nos jeunes s'identifient à ces footballeurs. Ils sont une part de leur rêve.
Alors ils vont rêver à quoi demain dans un pays où ils n'ont pas de travail et qui oblige les anciens à travailler plus en attendant qu'ils veuillent céder leurs places aux désoeuvrés.
Le poids des maux
L'Equipe rapporte l'accrochage qui aurait eu lieu entre Anelka et Domenech à la mi-temps du match face au Mexique. Le langage est vert, très vert.
Clash entre Nicolas Anelka et Raymond Domenech.
L'Equipe plonge samedi dans les coulisses du noir France-Mexique. Et en ressort avec de peu ragoutants instantanés. Atmosphère, atmosphère...
Même entre guillemets, il est plutôt rare de lire ce genre de choses à la «une» d'un journal. Les révélations de L'Equipe sur l'insulte d'Anelka à Domenech à la mi-temps de France-Mexique, jeudi (0-2), ont même gêné les journalistes des radios, samedi à l'heure des revues de presse matinales. Difficile de prononcer certains mots au petit déjeuner, il y a des formules à éviter devant des oreilles familiales. «Disons que c'est une version sans fard de l'expression "Va te faire voir"» a édulcoré l'un d'entre eux pour évoquer sans la citer exactement l'incroyable réplique du joueur de l'équipe de France à son sélectionneur. Cette scène, mais aussi deux autres instantanés saisis par les reporters de L'Equipe après la rencontre, en disent long sur l'ambiance qui règne dans le vestiaire en Afrique du Sud. En voici un résumé.
1) L'INSULTE D'ANELKA.
C'est la mi-temps de France-Mexique. Les Bleus rentrent au vestiaire. Le score est toujours de 0-0. Raymond Domenech reproche d'un ton ferme mais poli à Nicolas Anelka de ne pas rester assez en pointe, de trop "dézoner". Comme l'avant-centre conteste, le sélectionneur menace de le remplacer. C'est alors que fuse l'insulte reproduite à la «une» du journal. «OK, tu sors» dit alors Domenech à Anelka. «Ouais, c'est ça...» conclut le joueur de Chelsea. C'est André-Pierre Gignac qui va disputer la 2e période. Ce que l'on avait pris pour un changement tactique a en fait été dicté par les circonstances, le gros clash dans le vestiaire. L'Equipe raconte ensuite l'épilogue, après la défaite (0-2) et la douche : Anelka souriant, provocateur, «très clairement je-m'en-foutiste» écrivent Damien Degorre et Raphaël Raymond.
2) LE MAJEUR DE GALLAS.
La scène se situe à la fin de la rencontre, dans la zone mixte où se croisent journalistes et acteurs des matches. Florent malouda s'est déjà brièvement arrêté devant la caméra de TF1 pour quelques mots dépités. Au journaliste de la chaîne qui lui tend alors le micro, William Gallas préfère tendre son majeur, un geste «qui ne relève en rien son honneur» écrit L'Equipe.
3) LE MOUVEMENT DE RECUL DE GOURCUFF.
Confirmation du mépris que certains "cadres" de l'équipe de France, Franck Ribéry et Nicolas Anelka en tête, nourrissent à l'endroit de Yoann Gourcuff et des effets que leur pression exercent sur le Girondin. Toujours la zone mixte. Gourcuff est en train de répondre aux journalistes lorsque déboulent ses deux "amis". L'Equipe raconte : «Quand Gourcuff aperçoit le milieu du Bayern Munich, l'image est saisissante : il évite de croiser son regard frondeur et se colle un peu plus contre la barrière pour le laisser passer comme le premier de la classe fait place au caïd du collège par peur de prendre une baffe derrière la tête.»
Source:
http://news.fr.msn.com/sport/football/coupe-du-monde/article.aspx?cp-documentid=153831422
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