Le paludisme ou malaria
Des chercheurs australiens dévoilent leurs résultats de recherche sur le paludisme ou malaria.
Selon des scientifiques de l'Institut de recherche médicale Walter et Eliza Hall, huit protéines sont responsables de la dispersion de la maladie parasitaire provoquée par une piqûre de moustique, l’anophèle.
Ces protéines sont responsables de l’adhérence des globules rouges infectés aux vaisseaux sanguins et ainsi de ne pas être détruits par la rate.
« Cette découverte améliore énormément notre compréhension de la manière dont le parasite prend le contrôle des globules rouges afin de garantir sa survie et éviter les défenses immunitaires », a souligné l’équipe de chercheurs qui entrevoient la découverte d’un vaccin ou traitement qui pourrait détruire ces globules rouges et empêcher le développement de la malaria.
Selon l’Organisation mondiale de la santé, trois millions de personnes décèdent chaque année de la maladie et 600 millions en sont atteints.
Des chercheurs australiens dévoilent leurs résultats de recherche sur le paludisme ou malaria.
Selon des scientifiques de l'Institut de recherche médicale Walter et Eliza Hall, huit protéines sont responsables de la dispersion de la maladie parasitaire provoquée par une piqûre de moustique, l’anophèle.
Ces protéines sont responsables de l’adhérence des globules rouges infectés aux vaisseaux sanguins et ainsi de ne pas être détruits par la rate.
« Cette découverte améliore énormément notre compréhension de la manière dont le parasite prend le contrôle des globules rouges afin de garantir sa survie et éviter les défenses immunitaires », a souligné l’équipe de chercheurs qui entrevoient la découverte d’un vaccin ou traitement qui pourrait détruire ces globules rouges et empêcher le développement de la malaria.
Selon l’Organisation mondiale de la santé, trois millions de personnes décèdent chaque année de la maladie et 600 millions en sont atteints.