Les tribus de l'OMO
Photographies de Hans Silvester ... ( extraites d'un PPT qui circule sur la toile ).
Photographies de Hans Silvester ... ( extraites d'un PPT qui circule sur la toile ).
Voyageur infatigable, Hans Silvester parcourt depuis 2003 la vallée de l’Omo en Ethiopie où il réalise des clichés de la vie sauvage. Il est toujours animé par sa passion des lumières et des couleurs de la terre...En 3ans et neuf séjours, le photographe accompagné d'un guide et de 2 interprètes côtoie les tribus Hamer, Mursi, Surma, Bume et Karo. Ses photographies témoignent du quotidien d'une Afrique inconnue...
J'ai pris la liberté de rechercher les informations sur la toile pour que tout le monde sache et comprenne de quoi il s'agit. Beaucoup de gens en ont parlé alors j'ai consulté les sites et regroupé les interventions multiples sur le sujet.
La Route du Sud
L'Ethiopie est une mosaïque de beaucoup de gens merveilleux connu pour leur accueil hospitalier et amical.
Il y a d'environ 83 groupes ethniques, chacun qui parle leur propre langue. Les tribus de Hamer, Bena, Tsemay, Ari, Konso, Dorze, Karo, Dasenech, Mursi, Sidama, Oromo, et bien d'autres encore. Les paysages sont aussi très intéressants.
Beaucoup des groupes ethniques dans la vallée Omo conservent encore leurs costumes uniques et fascinants, cérémonies colorées, arts, habiletés, musique et danse
Le fabuleux « Empire caché » est connu pour son extraordinaire histoire, ses chants de prière, ses églises de pierres taillées et ses paysages naturels à nous couper le souffle. Les hauts plateaux et les profondes gorges cachent un des plus beaux secrets du monde, la rivière de l’Omo, en Ethiopie.
En 2003, Hans Silvester voyage en Éthiopie, dans la vallée de l’Omo, à la rencontre de tribus isolées, nomades et indépendantes. Dans cette région reculée du sud-ouest du pays, une vingtaine de tribus perpétuent en effet des modes de vie ancestraux. En trois ans et neuf séjours, le photographe accompagné d’un guide et de deux interprètes côtoie les tribus Hamer, Mursi, Surma, Bume et Karo. Ses photographies témoignent du quotidien d’une Afrique inconnue : retours de chasse, jeux d’enfants, parades. Mais ce sont surtout des peuples artistes que nous présente le photographe dont les clichés mettent en valeur corps et visages peints, coiffures inventives et sophistiquées, maquillages mutuels…
Les clichés colorés livrés par Hans Silvester séduisent notre regard autant que notre curiosité. Présentées en 2006 au Festival Visa pour l’Image à Perpignan, ces soixante photographies y ont créé l’événement.Il réalise depuis 1964 des reportages dans le monde entier, souvent publiés dans le magazine Géo.
Les photographies prises au cours de ces séjours témoignent du quotidien d’une Afrique inconnue : retours de chasse, jeux d’enfants, parades.
Dans ces sociétés traditionnelles d’éleveurs, la kalachnikov, qu’introduisirent les réfugiés du Soudan, est néanmoins exhibée en trophée et constitue la richesse du foyer. Mais ce sont surtout des peuples artistes qu’Hans Silvester nous présente.
Ses photographies mettent en valeur des corps et des visages peints, des coiffures inventives et sophistiquées, maquillage mutuel auquel chacun s’adonne avec plaisir, des coiffures qu’inspire la nature environnante...
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http://www.ethiopievoyage.net/la_route_historique.html