Saverne en Alsace

Bonjour à toutes et à tous.
Hier samedi j'avais rendez vous à Saverne avec d'autres personnes et ce rendez vous a été annulé. au dernier moment. mais comme je m'y trouvais déjà, j'en ai profité pour prendre en photo quelques rues et monuments.
J'ai tout d'abord visité le palais des Rohan où j'ai pu visiter une exposition sur les trains miniature. Puis on a accepté de me faire visiter les sous sol du chateau où étaient exposés des vestiges archéologiques;
Puis j'ai visité la cour du chateau et pour finir l'église de la nativité. magnifique monument où j'ai rencontré une dame dans la sacristie qui m'a proposé de me montrer ce que personne ne voit jamais. J'en ai profité pour prendre des photos.


Photo Wikipédia







Je voulais commencer mais suis très fatigué. Je vous en place déjà 10 pour vous mettre en appétit;






Là je suis au centre ville, juste à coté de l'église de la nativité que je vous montrerai à la fin; Ce porche, je l'ai trouvé suffisamment intéressant;






Très belle maison anciennne.
Mais que dit cette plaque ?







Et bien voilà que notre roi Charles 10 a séjourné dans cette demeure.






Et voilà l'église de la nativité. je la visiterai tout à l'heure car maintenant c'est pas possible. Il y a un enterrement qui y est célébré






C'est pas beau ça ?
Je vous t=rassure; Mis à part les colombages qui sont authentiques, tout le bas de la maison est une peinture en trompe l'oeil.













Il est magnifique cet Oriel. N'est-ce pas?






Aujourd'hui il pleut et il fait sombre.






L'artère principale ( piétonne ) de la ville.






L'église de la nativité













La maison Katz

Merci Roger, dommage que vous n'ayez pas eu beau temps.
Mais que c'est joli, et drôlement fleuri, les ruelles sont splendides.
Encore de belles photos.

Vraiment très jolie cette ville!!! Tu nous mets en appétit, Roger!!! Repose-toi mais viens nous mettre les autres car c'est trop beau!!!

je vais reprendre ce soir mon dépot de photos sur Saverne; Je n'ai même pas terminé de poster les photos de ma dernière sortie en avion avec Georges mais bon, je reprendrai ça plus tard. J'aime le changement .

Elles sont belles les maisons à colombage en Alsace. n'est-ce pas ?






la mairie de saverne ou officia de nombreuses années Adrien Zeller décédé il y a quelques jours. Un grand monsieur nous a quitté.






Malheureusement ça arrive partout, même à Saverne; Heureusement que ce n'était pas une maison classée.






scène de ville
La commerçante en Jaune ne semblait pas vouloir que je la prenne en photo. Ca je l'ai clairement remarqué.













Je me dirige maintenant vers le chateau des Rohan






L'aile arrière gauche







Et la partie centrale et arrière droite








une des ailes du chateau des Rohan à gauche et en face, en haut de la colline, l'église de la nativité qu'on verra plus tard. Elle est magnifique.
Le chateau des Rohan, je le connais bien; J'ai habité Saverne pendant 7 ans de 1976 à 1982, année où j'ai été muté à Oberhoffen sur moder.
J'ai donc vécu les fêtes annuelles, les bals et les expositions régulières au chateau.
Mais je n'y avais plus remis les pieds deopuis 1982.
[i]

Le Château des Rohan

Il est construit à partir de 1779 sur les ruines du château précédent, détruit dans un incendie dans la nuit du 24 septembre 1779. Après la guerre franco-allemande de 1870, le Château est transformé en caserne. Acquis par la ville de Saverne en 1952, il abrite aujourd'hui le musée, le Relais Culturel, l'Espace Rohan, une école primaire et une auberge de jeunesse.
Le musée a été créé en 1858 pour abriter les vestiges archéologiques découverts dans les environs. Des collections d'art et d'histoire ont été acquises par la suite. En 1932, le musée a reçu une importante donation de tableaux du peintre Alfred Roll. En 1983, la journaliste Louise Weiss a légué ses collections au musée (peintures et dessins du XXème siècle, mobilier XIXème et XXème siècles, documents historiques, collections ethnographiques).





La famille de Rohan a bâti plusieurs châteaux que l'on appelle tous communément Château des Rohan. Parmi ces châteaux, celui qui est sis à Saverne reste le plus célèbre et le plus visité de tous. Site touristique incontournable de la ville de Saverne, le château des Rohan attire chaque année des milliers de visiteurs, venus tant pour admirer la finesse de son architecture que pour visiter les musées et autres espaces culturels qu'il abrite.


Ce majestueux château riche en centaines d'années d'histoire constitue l'un des derniers grands châteaux français qui datent d'avant la Révolution, le troisième plus vieux musée municipal d'Alsace et représente l'âme même de Saverne. Le Château des Rohan, qui se dresse majestueusement à l'heure actuelle à Saverne, est en fait le quatrième monument construit sur ces lieux et ce, depuis le Moyen Age. Pour la petite leçon d'histoire, le château initial qui s'érigeait sur l'emplacement du Château des Rohan de Saverne actuel a anciennement servi de résidence aux évêques de Strasbourg. La ville a par la suite constitué le siège de l'évêché pendant plusieurs centaines d'années. Puis à cause de grands dégâts causés par un incendie, le château est ensuite reconstruit en 1779. Le cardinal Louis-René-Edouard de Rohan Guéméné en a eu l'idée et a recouru pour ce faire aux services de l'architecte Nicolas Salins de Monfort. Malheureusement, les travaux ne seront pas entièrement achevés et s'arrêteront en raison de la Révolution Française et de la nationalisation des biens du clergé. Pendant près d'un siècle, le château restera en état de ruines et frôlera même la démolition.


Il faudra attendre l'Empereur Napoléon III pour le restaurer et le remettre à neuf. L'Empereur en a d'abord fait un lieu de retraite pour les veuves d'officiers civils et militaires morts pour la partie, avant que le château ne soit par la suite transformé en caserne. Le château fera ensuite office de manufacture d'armes, dont il en conserve d'ailleurs des traces à l'heure actuelle. En effet, le château abrite une exposition d'une collection de fusils fabriqués sur place. La ville de Saverne rachète à titre définitif le château en 1952 et y ouvre un musée.



Mais à proprement parler, en installant un musée au sein du château, la ville de Saverne n'a pas vraiment créé un musée. Elle s'est juste contentée de déplacer l'emplacement du musée installé dans la chapelle Saint-Michel et créé en 1858. Ainsi, les vestiges des premières découvertes archéologiques effectuées à Saverne et ses environs, les tableaux rares des églises de Saverne ainsi que les nombreuses collections d'art et d'histoire qui ont été exposés dans l'ancien musée furent transférés vers le château. Il en est de même évidemment pour les célèbres tableaux du peintre Alfred Roll qui font la réputation de la ville. Initialement établi au 2ème étage dans l'aile sud du château, le musée s'étend petit à petit dans plusieurs autres parties du château à partir de la fin des années 80.


A partir de 1996, le musée consacre une section spéciale aux collections inestimables du XIX ème et XX ème siècles, offertes en 1983 par la journaliste Louise Weiss. Le musée de Saverne sis au sein du Château des Rohan constitue aujourd'hui l'un des plus grands musées archéologiques et des Beaux-Arts de France. Il compte à titre d'exemple une section d'art et d'histoire, une impressionnante collection de stèles funéraires et votives gallo-romaines ainsi que quelques 8000 oeuvres d'exposition de toutes sortes, allant des mobiliers archéologiques aux peintures et sculptures, en passant par les divers objets ethnographiques. En plus du musée de Saverne, le Château des Rohan abrite aussi l'Auberge de Jeunesse, le Relais Culturel, une école primaire ainsi qu'un Espace Rohan qui sert de salle de théâtre et accueille de grands concerts. Le château abrite également une exposition permanente dédiée à l'histoire et à la géologie locales ainsi qu'un parc qui rappelle les vestiges des grands jardins qui s'y trouvaient autrefois. Certaines salles du Château des Rohan peuvent aussi être louées au public, pour des réceptions privées. Mise à part le trésor culturel inestimable qu'il recèle, le Château des Rohan est surtout célèbre pour son style architectural singulier. Ces façades et ses toitures évoquent un mélange des styles architecturaux militaires et gothiques. Une légère ressemblance avec l'architecture du château de Versailles lui a valu d'être surnommé le Versailles alsacien. Au final, tous ces mérites et attraits font du Château des Rohan l'un des édifices touristiques les plus visités d'Europe.

Merveilleuses photos, Roger!!! C'est vraiment une très belle ville!!! Et le château est très bien aussi! Merci!

Vraiment très pittoresque . A propos du château des Rohan, petite précision , la famille de Rohan plonge ses racines en Bretagne .
J'aime beaucoup tes photos Roger.

Il ne faisait pas très beau ce jour là mais il ne pleuvait pas. Enfin il n'a pas plu tant que je faisais des photos pendant les deux heures de visite.
Je me suis rapproché du chateau et j'ai pris quelques clichés.













Je trouve que c'est encore assez fleuri pour la saison. En tout cas les ouvriers municipaux entretiennent bien les lieux.



























A l'intérieur, ça se présente bien. Il n'y a que moi et un panneau d'information.






Tiens tiens.... Louise Weiss.
Le bâtiment principal du parlement européen porte son nom me semble t-il. Nous avons déjà vu cela ensemble lors de mon dépot des photos de ma visite sur place.



Ce n'est pas l'étroitesse de ses liens avec le judaïsme qui a rendu Louise Weiss célèbre. Elle est née à Arras en 1893 d'une famille d'origine alsacienne et protestante par son père (La Petite-Pierre) et d'une famille juive allemande et tchèque par sa mère (*). A 21 ans, elle est agrégée de lettres et diplomée d'Oxford. Pendant la première guerre mondiale, elle s'engage comme infirmière et fait ses débuts dans le journalisme.
Trois engagements majeurs marqueront sa vie : l'Europe, le féminisme et le journalisme.




Au lendemain de la Grande Guerre, comme toute sa génération, elle est profondément touchée par l'hécatombe et les profondes dévastations que subit l'Europe.
En 1918, à l'âge de 25 ans, elle fonde une revue l'Europe nouvelle qu'elle dirige jusqu'en 1934, elle en fera un instrument pour la paix et pour la coopération en Europe.
En 1919, elle est correspondante à Prague de l'Information et rencontre la toute nouvelle classe politique tchécoslovaque, issue de l'indépendance toute récente de ce pays.
En 1924, Louise Weiss fait la connaissance d'Aristide Briand à Genève au cours de l'Assemblée générale de la Société des Nations .Elle surnommera Briand : "le Pèlerin de la Paix".
Dans sa revue l'Europe nouvelle, elle se prononce en faveur de la réconciliation franco-allemande et de l'instauration d'une paix stable en Europe. Elle effectue de nombreux voyages sur le continent ravagé pour visiter les nouveaux Etats nés au lendemain de la guerre et participe à de nombreuses conférences internationales.
En 1934, elle quitte avec fracas, la direction de sa revue : l'arrivée d'Hitler au pouvoir constitue un échec de toute son action pour la paix et la réconciliation. Elle n'hésite pas, dés le début, à dénoncer le nazisme et la persécution des juifs en Allemagne.
En 1939, elle nommée Secrétaire générale du Comité chargé d'accueillir les réfugiés d'Allemagne et d'Europe centrale.
A ce titre, elle intervient en faveur des passagers du Saint-Louis qui transportait un millier de juifs allemands provenant de Hambourg refoulés de Cuba. Elle parvient à convaincre le gouvernement français d'accueillir un quart des passagers, les autres réfugiés étant répartis entre l'Angleterre, la Belgique et les Pays-Bas.
Durant la deuxième guerre mondiale, elle entre dans un réseau de Résistance sous le nom de Valentine et participe à la rédaction du journal clandestin Nouvelle République.
Elle assiste au procès de Nuremberg comme journaliste en 1945.
Aprés la deuxième guerre mondiale, elle parcourt davantage les autres continents.
Elle publie en 1968, le premier tome des Mémoires d'une Européenne qui en comptera cinq.
En 1979, élue à 86 ans sur la liste gaulliste aux premières élections européennes du Parlement européen au suffrage universel direct, elle prononce, comme doyen d'âge un discours qui restera célèbre du point de vue de la forme littéraire et poétique et de son message historique, politique et culturel. Elle lance un vibrant appel à l'unité : "l'Europe ne retrouvera son rayonnement qu'en rallumant les phares de la conscience, de la vie et du droit;"




Paul Weiss, son père est opposé à ce que les filles bénéficient d'une instruction trop poussée.
Elle suit des cours d'instruction ménagère, puis réussit par sa ténacité à terminer ses études secondaires et supérieures, malgré l'opposition de son père.
Dés les années vingt, elle s'intéresse au droit de vote des femmes et estime que le suffrage des femmes pourrait empêcher un nouveau conflit en Europe.
En 1934, elle se lance dans la bataille féministe et fonde un nouveau journal La Française. Elle préfère amuser que prêcher et pour ce faire invente des événements destinés à attirer l'attention de la presse. Une boutique s'ouvre sur les Champs Elysées : une mappemonde indique les pays dans lesquels les femmes votent. Pour les élections municipales de 1935, les mouvements féministes organisent des élections symboliques dans plusieurs villes de France dans des cartons à chapeaux .Le jour de ces élections municipales, sur la place de la Bastille, elle harangue la foule et déclare que les auteurs de la Déclaration des Droits de l'Homme ont oublié la femme.
Elle fonde dans la lancée une association "La Femme nouvelle" qui comptera plusieurs dizaines de milliers d'adhérentes. En 1936, elle répond à Léon Blum qui lui propose un poste ministériel : "j'ai lutté pour être élue pas pour être nommée".
A son initiative, le Parlement est saisi d'un projet de loi sur le droit de vote des femmes qui sera finalement, une fois de plus, refusé par le Sénat. Ce n'est que vers la fin de la deuxième guerre mondiale qu'une ordonnance du 21 avril 1944 signée par le Général De Gaulle accordera aux françaises le droit de vote.
Elle publiera en 1946 ses souvenirs de la IIIéme République sous le titre non équivoque et ironique: Ce que femme veut.
Elle sera promue au grade de Grand Officier de la Légion d'honneur, seules deux femmes avaient reçu ce grade avant elle.





Le buste de Louise Weiss au Château des Rohan de Saverne
Dés la fin de la Grande guerre, elle effectue de nombreux voyages dans les nouveaux pays de l'Europe; elle se rend en Union soviétique et rencontre les dirigeants de ce pays.
Après la deuxième guerre mondiale, elle coopère avec Gaston Bouthoul le fondateur de la polémologie et étudie par ses voyages à travers le monde les racines des différents conflits qui surviennent dans le contexte Est-Ouest et des guerres coloniales.
Elle ramène plusieurs récits de voyage : en 1949, L'or, le camion et la croix, récit d'un voyage du Mexique en Alaska, en 1954 en Inde elle visite le Cachemire d'ou elle tire un guide de voyage qui sera publié dans la collection des Guides bleus.
Elle multiplie ses voyages en Orient et prépare plusieurs documentaires. Elle fonde à Strasbourg en 1971, l'Institut des Sciences de la Paix.


Louise Weiss décède en 1983, à l'âge de 90 ans. Pour honorer ses origines alsaciennes , elle fait don peu avant sa mort de ses collections au Musée du Château des Rohan de Saverne qui contient aujourd'hui une section qui lui est consacrée. Elle lègue à la Bibliothèque nationale l'ensemble de sa correspondance et de ses manuscrits, et ses livres à la Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg.

Depuis 1999, le bâtiment principal du Parlement européen édifié à Strasbourg porte son nom.



Note :
Le père de Louise Weiss, Paul Weiss est issu d'une famille alsacienne de La Petite-Pierre, et ses parents se sont installés à Phalsbourg. Ils étaient membres de l'Eglise luthérienne d'Alsace. Sa mère, née Jeanne Javal, appartient à une famille juive de Seppois-le-Bas ; ses grand-parents étaient venu vivre à Paris dès 1808 (N.d.l.R.).




Selon toute vraissemblance, ça va se passer là haut.







Là je tombe sur une équipe souriante, qui me dit que je suis le bienvenue dans un musée gratuit pour la journée.
Pour une fois que j'ai de la chance, profitons en...
Après les présentations d'usage et des discussions plutot sympas, Geneviève ( à Droite sur la photo ) me propose une visite guidée gratuite.
C'est mon jour de chance.







On commence la visite par les trains miniature. De belles maquettes et des jouets bien exposés en vitrine.
On me met tout cela en marche pour me faire plaisir.







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Je trouve que c'est un peu mélangé. Là j'entre dans une salle à ma gauche où sont exposés des poteries et statuettes anciennes provenant de sites archéologiques et vieilles églises.






Ces statues sont de taille humaine.

Roger j'aime vraiment le cachet de ces maisons

Vraiment magnifique ce château!!! Louise Weiss est une grande dame!!! Je ne la connaissais pas, Roger!!! Merci pour cette courte biographie!!! Une bien jolie visite!!!

Superbe cette visite et très enrichissante, merci Roger.

Poursuivons cette visite.


Je vais survoler ce musée car il y avait tellement de choses anciennes, de poteries trouvées un peu partout et notamment dans des fosses de chateaux etcetera...








Une pièce sombre où l'on peut voir des diapositives sur la première guerre mondiale. Ca semble faire partie de l'exposition sur Louise Weiss qui a fait don de tous ses biens à la ville de SAVERNE. Elle avait une petite fortune. Ses héritiers ont d'ailleurs intenté un procès à la ville de Saverne pour récupérer tout ou partie de cette fortune. sans effet car Louise avait bien fait les choses.
Faut savoir que jusqu'à sa mort, Louise Weiss n'avait pas de contact avec sa famille; Elle avait donc jugé inoportun de céder son héritage à des étrangers qui l'auraient ensuite oubliée. Là elle avait l'assurance d'avoir une place dans cette ville et les Savernois lui ont définitivement fait une place au chateau.

Les arrières grands parents de Louise Weiss




Des objets lui ayant vraisemblablement appartenus









Comme il y avait une fenêtre, j'en ai profité pour prendre le parc à l'arrière du château.



















Fausse carte d'identité de Louise Weiss. Réalisée pendant la guerre.
Louise Weiss etait juive et donc, tout s'explique !

Quelques photos de sa vie, de ses voyages, de ses engagements politiques et humanitaires.








































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Intéressant comme tout, ce petit musée. Et comme toujours, belles photos .

Une visite bien agréable, Roger! Merci encore une fois!!!

je vais vous avouer que j'ai été un peu déçu par ce musée;
Ok, il y a une expo sur les trains miniature, un coin dédié à Louise Weiss que j'ai pas trouvé vraiment intéressant si ce n'est qu'il a déjà le mérite de permettre aux générations futures de ne pas oublier le personnage qu'elle a représenté . La batisse en elle même n'est pas visitable ce jour là. Par contre le sous sol du chateau m'a intéressé et on va y venir; L'église aussi m'a intéressé. Ca c'était un moment sympa.
Allez, je vais charger les photos.

Ce sont toujours des souvenirs de voyages faits par Louise Weiss;





Quelques photos géantes représentant des scènes de voyages.









































Là je suis rentré dans une pièce où étaient exposés diverses pièces anciennes vraisemblablement trouvées lors de fouilles ou provenant d'édifices de la ville.











Comme je l'ai dit déjà sur un autre fil de discussion, j'ai pas vraiment été marqué par cette succession de musées dans ce chateau; les sujets qui ont été véritablement intéressants sont les sous sol et l'église un peu plus tard;





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Pour ceux qui ont visionné mes photos du chateau et prises d'avion
lors de ma sortie avec georges, vous avez pu voir le canal.
Eh bien ce canal n'existait pas autrefois ( au 18ème siècle ).
Regardez le plan.






Je vous l'avais dit.
Geneviève m'a emmené faire un tour dans les sous sols du château.
Suivez nous et ne vous attendez pas à des cochoncetés; Que du tourisme !






Il y fait bon. Pas froid du tout et très propre; Des statues partout, vous verrez; La cerise c'est dans pas longtemps.













Une pierre tombale.













Des toilettes; Sympa.













Je marche en silence et elle, elle se planque pour ne pas être prise en photo. Ne vous inquiétez pas, je l'aurai un jour; Je l'aurai.







Des passages secrets ?????










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Merci pour cette suite, Roger!!! Toujours intéressant de te suivre et on apprend plein de choses!!!

La licorne d'origine. Celle qui trône dans le parc est une copie.






Des pierres trouvées lors des fouilles du chateau.






La voila Geneviève.

Je trouve la licorne très belle et très bien conservée!!! Merci Roger!!! Personne ne peut échapper à l'oeil de ta caméra, pas même Geneviève!!!!

j'étais seul au musée ce jour là avec deux nanas bien sympas. Alors j'en ai profité. Avec de belles paroles et de la gentillesse, toutes les portes s'ouvrent.