Visite d' Istanbul

Voyage Aller:
Départ le 23 novembre à 15h05 de l'aéroport Bâle / Mulhouse.
Arrivée à Istanbul à 19 heures.
Taxi jusqu'à l'hôtel Grand Tahir ( 3* ) rue Yesiltulumba ( 38 lires turc ) ( vous divisez par 2.30 pour avoir la valeur en euro )
Nous intégrons une chambre sympa et nous nous installons.

Voyage Retour:
Départ de l'hôtel le 26 novembre 2012 à 9h00 en taxi réservé par la réception.
Arrivée à 9h30 à l'aéroport.
Enregistrement des bagages presque aussitot et attente pendant laquelle nous prenons nos derniers Thé Turc.
Décollage à 11h55 précises.
Arrivée à Bâle / Mulhouse à 14h55 précises.

Nous avions trouvé la formule la moins chère chez le TO L'TUR ( société allemande implantée à Strasbourg et spécialisée dans les vols et séjours dernière minute ).

Coût total du séjour:
Donc pour 2 personnes, vols aller/retour et trois nuits d'hôtel avec petits déjeuners nous avons payé 546 euros.
Nous avions emporté 600 euros que nous avons changé dans un des multiples bureaux de change et cela nous a largement suffit pour nous restaurer dans des restaurants chic et propres, payer nos différentes entrées un peu partout et acheter nos cadeaux.

Vous devez parler le turc ou l'anglais. Le français, ils ne connaissent pas.

Précautions:
Les taxis turc sont des voleurs. Les deux premieres fois nous nous sommes fait arnaquer. La course de l'aéroport à l'hôtel aurait du nous couter ce que j'ai dit plus haut car cette somme était affichée sur son compteur. Mais il a demandé 120 lires turc et j'ai payé. C'est le réceptionniste de l'hôtel qui nous a dit que nous nous étions fait avoir.

La seconde course avec un taxi a eu lieu le lendemain et là aussi, par un tour de prestidigitateur, il a pris mon billet de 50LT et m'en a montré un de 10 LT comme étant celui que je lui avais donné. J'ai eu beau insister mais il n'entendait pas en rester là. J'ai payé la différence et j'ai encore perdu 30 LT au total.

Les fois suivantes, fort des conseils du receptionniste, je me suis d'abord assuré que son compteur était à zéro et lui ai demandé de le mettre en marche en lui précisant que je ne paierai pas plus que ce qui était marqué. Mais ce n'est pas tout. Je me suis d'abord assuré de la somme globale qu'il allait me demander car il pouvait aussi passer par Paris pour nous emmener à destination et nous faire payer des centaines de LT. Nous avions donc:
1) l'assurance que le compteur allait être remis à zéro avant le départ,
2) une approximation du prix avant le départ pour qu'il ne fasse pas inutilement le tour de la ville pour nous faire payer le prix fort,
3) de payer le prix affiché sur son compteur au moment de l'arrivée.

C'est comme cela que vous devez avoir à faire aux taxis de cette ville. Il y en a tellement que vous n'attendez pas 2 minutes avant qu'il y en ai un qui s'arrête. Donc soyez vigilent et ferme sur la méthode et le prix.

Programme réalisé dans sa totalité.

Nous avons vu:
1) le grand bazard,
2) la mosquée Sainte sophie,
3) la mosquée bleue ( de l'extérieur)
4) le palais de Topkapi,
5) le marché des artisans,
6) Le palais de Dolmabatche,
7) effectué la croisière d'une heure 30 sur le bosphore,
8) Le palais Yldiz,
9) la grande citerne,
Vous verrez tout cela en photos commentées.

Nous avons immédiatement pris la poudre d'escampette et fait un tour dans la ville.
Il faisait bon, 17 degrés et il ne pleuvait pas.
La ville est très animée le soir






















Nous constatons que beaucoup de Stanbouliotes vendent un peu de tout sur les trottoirs






Ici vous pouvez vous faire griller des brochettes. Il y a de l'ordre mais quand à la fraîcheur, je sais pas. Nous n'avons jamais essayé d'en manger.




















Les hommes prennent plaisir à prendre le thé dehors dans les différents bars de la ville. Il y en a un nombre incalculable.






























































Si vous aimez les piments, dans ce magasin, il n'y avait que ça...














Encore et toujours des particuliers qui arrondissent leurs fins de mois ou qui en vivent tout simplement. Je pencherai plutot pour cette seconde raison.



































Des chats il y en a partout dans la ville.







Ils ont de beaux fruits et beaux légumes.
Sachez que vous ne devez pas toucher les fruits et légumes que vous souhaitez acheter. Comme tout est beau, ce sont les marchands qui choisissent pour vous. On nous a dit que c'était une règle au pays alors nous avons fait avec. Vous dites au marchand ce que vous voulez et c'est lui et lui seul qui choisi et vous emballe ce que vous avez acheté.

Restaurant Hatay Medeniyetler Sofrasi à Istanbul

Nous avons quand même pris le temps de prendre un bon repas pour terminer cette première soirée dans la ville.
C'est après avoir parcouru quelques rue et ruelles que notre choix s'est porté sur ce Restaurant là. Il semblait propre, lumineux, plein de clients et donc avait un turn over qui invite à la consommation. Nous faisons toujours attention à cela. Peu de turn over et la marchandise stagne dans les cuisines ce qui n'est pas bon en général. C'est un ancien restaurateur qui vous dit cela. Je sais donc de quoi je parle. Nous ne l'avons pas regretté car nous n'avons pas eu de problème intestinal tout au long du séjour. Le service était assuré par 8 personnes et il y avait 6 personnes en cuisine. Cuisine ouverte que les clients peuvent regarder à tout moment.

Vous êtes accueillis par une charmante hotesse et le patron. On vous place et deux ou trois serveurs viennent immédiatement vous prendre en compte.
On vous présente un superbe book 21X29.7 en papier glacé où figurent tous les plats proposés et leur prix.
Pendant que vous compulsez ce book, un serveur arrive avec un plateau d'un mètre carré au moins contenant une multitude de petits plats frais à consommer en entrée en attendant d'avoir choisi votre plat principal.
Ce rituel a été le même pendant tout le séjour. Nous y avons diné 3 fois.
Ce premier soir, sanade de persil et purée de ratatouille aux épices.
C'értait très bon et frais. Nous ne voulions que deux petits plats pour cette première soirée.














on nous a servi d'office un plat de fruits frais coupés en fin de repas.
Nous avons apprécié
Le repas nous a couté 40 LT au total. ( divisez cela par 2.30 et vous avez la somme en euros ).
le repas était excellent.

Après le petit déjeuner pris à l'hôtel vers 8 heures, nous avons marché sur l'avenue Ordu Gaddesi en direction du palais de Topkapi. Le grand Bazar se trouvera sur notre gauche à environs 15 minutes de marche lente.
Il faut bon mais gris. 17 degrés affichés sur les thermomètres de la ville.


Quelques photos prises en y allant.








Beyazit mosquée


petit marchand ambulant vendant des spécialites turc







Cette structure en bois avec toiture habrite un monument vraisemblablement historique qui est en rénovation. On apperçoit à l'arrière de celui-ci les dômes d'un établissement de bains turc qui a déjà été rénové.
Tous les bâtiments anciens sont ainsi rénovés. Les entrepreneurs mettent d'abord la bâtisse à l'abri avant de commencer la rénovation. On voit cela un peu partout dans la ville et vous le verrez sur d'autres photos.























Un habitant préparant sa théière pour vendre du thé aux passants.
Beaucoup de Sanbouliotes vendent de tout et n'importe quoi dans cette ville. Il y en a partout dans les rues.











Il y a beaucoup de monuments dans cette ville. C'est à s'y perdre lorsqu'on se fait un itinéraire et qu'on regarde la carte où sont sensés apparître ces dits monuments.
Seuls les noms des rues peuvent être des repères.

Le grand Bazar d'Istanbul

C'est à mon avis un lieu à visiter si vous allez dans cette ville.
C'est là que vous pourrez trouver les bijoux, poteries et plus généralement les cadeaux que vous souhaitez emporter chez vous.
Négociez tout et fermement

Toutes les entrées sont gardées par la police locale.











des céramiques et poteries locales très colorées.














































































































Elles sont pas belles ces assiettes ?





















Voilà pour les photos prises dans le grand bazar d'Istanbul. Nous n'avons visité que la moitié de ce grand Bazar car le temps nous était compté.
Un weekend c'est quand même peu pour se donner le temps de tout voir. Il est immence.
Mais il y fait bon, il y a du monde, les marchands ne vous agressent pas et tout est négociable.




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les tombes de dignitaires turcs







































petits métiers des rues d'Istanbul.
Lui il affute les couteaux à la demande.



Döner Kebab signifie "viande tournante"



J'ai rarement vu de bénitiers aussi grands.













Le train / Tram qui relie Istanbul d'un bout à l'autre jusqu'en Europe. Le terminue est à 100 mètres du palais de Dolmabatche. Nous l'emprunterons dimanche pour aller visiter ce palais et faire la sortie sur le Bosphore.







La colonne de Constantin
La colonne était composée à l'origine d'une base supportant un fût de huit tambours de porphyre, chacun pourvu à sa partie inférieure d'un tore de feuilles de laurier. Elle était surmontée d'un chapiteau et d'un socle sur lequel était placée une statue de Constantin représenté en Apollon-Hélios : l'empereur tenait une lance dans la main droite, un globe dans la main gauche, et il était coiffé d'une couronne radiée à 7 rayons — telle qu'elle figure sur le monnayage de cet empereur jusqu'en 326.

Au cours des ans, la colonne connut des incendies et dérangements divers, au point qu'on dut remplacer le tambour supérieur et le chapiteau par des éléments de maçonnerie et que la base et le tambour inférieur furent enrobés dans un socle maçonné très massif. Les six tambours subsistants reçurent des anneaux de fer assez inesthétiques qui laissèrent au monument son nom populaire de « colonne cerclée ».

La hauteur de la colonne seule est de 23,40 m, tandis que celle du monument, statue comprise, devait atteindre 37 m.

La base de la statue était pourvue d'une inscription, peut-être plus tardive, composée du texte suivant :

« Toi, Christ, tu es le créateur et le maître du monde ; à toi, j'ai consacré cette ville qui est la tienne, ainsi que le sceptre et la puissance de Rome. Garde-la, sauve-la de toute atteinte. »

Il est possible qu'une des faces de cette base ait été décorée d'un bas-relief représentant une scène d'aurum coronarium : c'est en tout cas ce qu'on déduit de l'attribution d'un dessin de Melchior Lorich daté de 1561, où figure cette scène.

En 1106, le vent fait tomber la statue. L'empereur Manuel Ier Comnène ordonne plus tard la restauration de la colonne, et la fait couronner d'un bloc portant une croix.



Pour une Lire Turc elle vous donne une petite assiette de graines à offir aux pigeons.











La pluie tombe mais c'est pas désagréable. Heureusement !










La pluie et Anne marie. C'est pas Top. Elle déteste ce temps.















Le maïs bouilli. C'est tendre, c'est chaud et c'est bon. Essayez ...














Nous arrivons à Sainte sophie et l'entrée de la grande citerne est à 50 mètres.








Yerebatan La grande citerne engloutie d'Istanbul
La plus grande et la plus belle des citernes de la ville. une immense salle souterraine qui évoque l'intérieur d'une église. Les Byzantines l'appelaient d'ailleurs la Citerne - Basilique. Construite sous Constantine ( IVe siècle) et agrandie par l'empereur Justinien (532). Cette grande citerne alimentait en eau le palais impérial. Elle mesure 143 m de long sur 70 m de large. ses voûtes sont supportées par 336 colonnes réparties en 12 rangées de 28 colonnes. Les chapiteaux des colons sont du style Ionien et Corinthien, quoique on peut y discerner des chapiteaux du style Dorique non travaillés. La citerne est entourée d'un mur épais de 4 mètres en briques cuites et plâtre avec un mortier spécial pour une isolation d'eau. La citerne était alimentée par les aqueducs construits par l'empereur Justinien, situés à 19 km au nord de la ville, dans les forêts de Belgrade. A la suite de la réparation des colonnes et des fissures en 1968, la municipalité Métropolitaine d'Istanbul restaura à nouveau la citerne en 1985 et l'inaugura le 9 septembre 1987. Ce palais englouti (Yerebatan) faisait parti du système d'adduction d'eau de Constantinople.



A cette heure, la queue était longue. J'ai honteusement triché en passant devant tout le monde. Y a bien un anglais qui m'a fait remarquer que je devais faire la queue mais j'ai fait mine de ne rien comprendre lui faisant remarquer que j'étais sourd muet.



C'est la première vue qui s'offre à nous avant de descendre. Très prometteur et vous allez voir, c'est une merveille d'architecture.

En bas il y a la possibilité de se déguiser en Sultan ou sultane mais bien entendu c'est payant.
Et bien entendu il est interdit de faire des photos des personnages.Je vais braver cette interdiction car j'en ai un peu assez de me faire avoir.











il y a environs une 40taine de marches à descendre. La température est agréable et il ne fait pas froid du tout.
Pour prendre des photos, vous oubliez le flash car cela ne donnera rien de bon.
Augmentez la sensibilité de votre appareil jusqu'à 1000 iso sans flash et ça marche.
Tous les voyageurs ayant visité cette citerne le disent dans leurs compte rendus de voyage.



Sans flash, sensibilité 1000 iso. Il fait vraiment sombre dans cette citerne.















Les photos étant interdites sur ce lieu, vous vous doutez bien que pour Roger, ce qui est interdit ne l'est plus par principe.



Il y a 25 à 30 cm d'eau fraiche en permanence dans le fond et des poissons par centaines. Poissons qui ont été mis là pour amuser la galerie. Enfin je le suppose;




Les voûtes sont supportées par 336 colonnes réparties en 12 rangées de 28 colonnes.C'est grandiose et on ne s'attend pas à cette architecture en sous sol.


Les barres de section carrée sont là pour maintenir la structure en cas de tremblement de terre. Tous les édifices en sont pourvus en Turquie.



bien entendu comme vous le voyez sur la photo ci-dessous, on fait le tour de ce lieu sur une plate forme en béton surélevé. Attention, ça glisse parfois malgré le revêtement anti dérapant.







des poissons encore et encore. Il y en a de gros et je pense en avoir photographé. On verra cela après.

La grande Citerne d'Istanbul Yerebatan Suite numéro 2

A un monent donné ( au bout de la citerne il y a des pilônes intéressants dont l'un est sculpté avec une figure à l'envers. Pourquoi à l'envers, on en sait rien. Pas d'explication à priori.







































On voit là des piliers qui ont été renforcés par du béton. Les Romains auraient fait mieux mais les hommes de l'art aujourd'hui ne sont-ils plus capables de faire aussi bien ?

























La visite est termminée. Elle aura coûté 10 lires Turc par personne.

La Basilique Sainte Sophie à Istanbul
visitée dans l'après midi du 24 novembre 2012

il faut faire la queue. 25 lires Turc par personne. ( divisez par 2.30 pour avoir la somme en euros).








La basilique Sainte-Sophie est un bijou d'architecture byzantine du début de l'ère byzantine (depuis plus de 1400 ans). Elle fut érigée en 532, puis détruite à deux reprises par des incendies. rebâtie sur les cendres de la basilique, Sainte-Sophie fut inaugurée après moins de 6 années de chantier le 26 décembre 537 par l'empereur Justinien, qui la consacra à la sagesse divine (Hagia Sophia en grec). Pour habiller les murs et dresser les colonnes, Justinien fit venir des provinces de l'Empire une grande variété de marbres : marbre blanc de Marmara, marbre vert de l'île d'Eubée, marbre rose des carrières de Synnada et marbre jaune d'Afrique







le vaste chantier est confié à deux architectes grecs venus spécialement d'Anatolie. Anthémius de Tralles et Isidore de Milet (qui dirigea en son temps l'Académie platonicienne d'Athènes, vont se baser sur les principes orientaux de la construction. Ils s'inspirèrent également du Panthéon romain et de l'art chrétien primitif de l'Occident.





les plus beaux marbres de toute la région méditerranéenne furent acheminés pour sa construction. Certaines colonnes et ornements furent récupérés dans les temples de Diane à Ephèse, d'Athènes, de Delphes, de Délos, d'Osiris en Egypte.






D'une architecture unique, Sainte-Sophie a servi de source d'inspiration pour les mosquées Ottomanes et elle est toujours le symbole de l'islam triomphant. La nef de 70 m de côté est coiffée de la plus grande coupole du monde : la face interne de l'immense coupole centrale de plus de 30 mètres de diamètre, comporte 40 nervures maçonnées, elles-mêmes décorées de motifs géométriques. Sur la circonférence, une couronne de 40 fenêtres renforce l'effet aérien de cette structure qui semble flotter au-dessus de la salle des prières. Une calligraphie or sur fond noir entoure un soleil figuré au centre. Ce sont deux demi-coupoles qui soutiennent la coupole principale. Le bâtiment fait 56 m de haut.






Sainte-Sophie est transformée en mosquée dès la prise de la ville par les Ottomans en 1453. Les mosaïques sont ensuite recouvertes d'un badigeon. Les Turcs transformèrent la basilique en mosquée et lui ajoutèrent minarets, fontaines et autres mausolées.






Sainte-Sophie possède aussi un mihrâb (Niche de prière indiquant la direction de La Mecque) couvert de magnifique faïences, et quatre immenses panneaux ronds en peau de chameau sur lesquels Mustafa Izzet Efendi calligraphia au XVIIè s, en lettres d'or arabes, les noms sacrés des quatre premiers successeurs du prophete Mahomet : Abu Bakrr, Umar, Othman et Ali. le sultan Ahmet III fit édifier un minbar (Chaire en pierre, couronnée d'un cône en céramique et surmontée d'une demi-sphère en cuivre doré), une véritable chef-d'oeuvre de la sculpture Ottomane








































































Les chats. Ils sont aussi gardiens du temple. On se croirait en Inde avec les rats...












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La basilique Sainte Sophie à Istanbul Suite 1
Visitée dans l'après midi du 24 novembre 2012.

Les photos sont autorisées mais voilà ce que ça donne avec le flash. Faites comme pour les prises de clichés dans la citerne; Utilisez votre appareil photo sans flash mais avec une sensibilité de 600 à 1000 iso suivant la luminosité. N'hésitez pas à demander à un touriste de vous prendre en photo avec votre appareil. Tout le monde le fait et ça semble être une pratique courante dans ce lieu.



































Les motifs des ornements sur les faces sont de véritables dentelles ciselées dans le marbre blanc de Proconnèse. Ce type de chapiteau byzantin se retrouve dans tout le bassin méditerranéen et témoigne de l'influence de constantinople.













































































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La basilique Sainte Sophie à Istanbul Suite 2
Visitée dans l'après midi du 24 novembre 2012.

après être monté sur la partie supérieure de la Basilique par un chemin pierreux en pente qu'auraient pu emprunter autrefois des véhicules, nous redescendons par ce même chemin.
























Au rez de chaussée, à l'entrée de la basilique je photographie cette cloche que les conquérants ont en leur temps retiré de son emplacement. Les inscriptions semblent être écrites en greque































encore des chats



Le visite est terminée, nous quittons la basilique musée.















Saine Sophie à l'arrière

Istanbul le 24 novembre 2012.
Il est 13h10 et nous sommes sur la grande place autour de laquelle il y a la basilique Sainte Sophie que l'on vient de visiter, un bain turc, le palais de Topkapi, la mosquée bleue, le marché des artisans;
Nous n'avons pas encore mangé et c'est ce que nous allons faire avant de poursuivre notre découverte de la ville.
Prochaines étapes, le marché des artisans, la mosquée bleue et topkapi
















les bains turc au fond







La Mosquée Bleue







La basilique Sainte Sophie



des cireurs de chaussures il y en a un peu partout dans la ville et même dans tout le pays. C'est un petit métier très répandu.







Nous descendons vers la maison bleue en bas. Nous ne le savons pas encore mais c'est un hôtel restaurant que nous allons choisir pour déjeuner.



La mosquée bleue avec ses six minarets
























la voilà la blue house.
On s'arrêtera là pour déjeuner.











au menu: Köfte pour moi et salade au poulet pour Anne marie. Très bon et pour un prix raisonnable. 40 lires turc.








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Après ce bon repas, nous poursuivons la visite du centre historique d'Istanbul en allant voir ce marché des artisants.











Il n'y a qu'une allée d'environs 150 mètres et bordée de petits magasins.











Les tapis sont magnifiques. Nous avons demandé les prix et il faut compter entre 400 et 1000 lires turc en fonction de la qualité.
















Choisissez votre mosaïque.
Le travail est magnifique et vous payez la mosaïque, pas le carreau. Le prix est calculé en fonction de la surface.

L'oeil bleu

L'oeil bleu s'appelle "Nazar Boncugu" en turc. C'est une très ancienne croyance. Les racines de cette conviction remonte jusqu'à Babylone et l'Égypte ancienne. Il a été présent également parmi les écrits Sumériens et Hittites. Selon eux, cette croyance est pour éviter ou pour utiliser ce pouvoir. Selon la croyance ancestrale anatolienne, il est une représentation de l'oeil destiné à chasser les malheurs. Dans la croyance anatolienne, le regard de Nazar est associé à trop de flatteries. En même temps il a fini par prendre la forme de la jalousie. Il a un pouvoir négatif qui se répercute aussi bien sur la personne que sur les biens ou les objets. C'est la raison pour laquelle presque toutes les mamans turques attachent avec une épingle à nourrice le fameux oeil bleu sur les vêtements de leurs bébés.

L'idée est de protéger la maison, le bureau ou la santé. L'amulette, généralement associée à l'expression turque "Masallah", est dessinée sur du verre bleu foncé et peinte en blanc et jaune. L'oeil de verre prend diverses formes, allant du petit objet suspendu aux portes-clés, aux grands tableaux décoratifs, en passant par des formes de pommes de pins et de médaillons qui ornementent les portes des maisons, l'accès de bureaux et les autres lieux de travail. Si vous voulez l’utiliser dans votre maison, vous devriez l’accrocher à l'entrée de la maison, immanquablement tout visiteur va le voir. Si vous voulez l’utiliser comme amulette, le plus commun serait une petite amulette que vous pouvez accrocher à votre sac ou manteau. Vous pouvez également l’utiliser en bracelet, collier et boucles d'oreilles sous diverses formes. Les Turcs estiment qu’avec l'amulette contre le mauvais œil, vous serez protégé. Toutes négativités et mauvaises situations que vous avez à éloigner seront dirigées vers le bonheur. En portant l'amulette "Nazar Boncuk" toute l'énergie négative sera emprisonnée.







Nous avons poussé la porte de ce marchand d'art. Les toiles étaient à 200Lt et pouvaient aller jusqu'à 600 LT.



Nous n'avons pas acheté de toile mais des bijoux en argent.

Le palais de Topkapi
Samedi 24 novembre 2012, 15h10.

Après la visite extérieure se la Mosquée Bleue, nous nous rendons maintenant à pieds au palais de Topkapi. Il est à 250 mètres de la basilique Sainte Sophie.
































des marchands de souvenirs aux abords de l'entrée principale du palais de Topkapi.












Fontaine du sultan Ahmet III
Sultan Ahmet Çesmesi
Fontaines et bassins - 1728
Les vers gravés sur cette fontaine rococo la comparent aux fontaines du paradis.






Porte impériale
Bab-i Hümayun
1478
Cette porte, située derrière Sainte-Sophie, sera érigée sous le règne du Sultan Mehmet II (1451-1481). Le Sultan, les Vizirs et les ministres étrangers seront les seules personnes autorisées à la franchir à cheval.





Le palais de Topkapı (en turc Topkapı Sarayı ou en turc ottoman : طوبكابي بالاذي) est un palais d'Istanbul, en Turquie. De 1465 à 1853, il est la résidence urbaine, principale et officielle, du sultan ottoman. Le palais est construit sur l’emplacement de l’acropole de l’antique Byzance. Il domine la Corne d'Or, le Bosphore et la mer de Marmara. Le nom de « Topkapı Sarayı » signifie littéralement « palais de la porte des Canons », d'après le nom d'une porte voisine aujourd'hui disparue. Il s'étend sur 700 000 m² (70 ha), et est entouré de cinq kilomètres de remparts.









La construction commence en 1459, sous le sultan Mehmed II, conquérant de la Constantinople byzantine. Par la suite, le palais impérial connaît de nombreux agrandissements : la construction du harem au cours du XVIe siècle, ou les modifications après le tremblement de terre de 1509 et l'incendie de 1665. Le palais est un complexe architectural composé de quatre cours principales et de nombreux bâtiments annexes. Au plus fort de son existence comme résidence impériale, il abritait plus de 4 000 personnes, et s'étendait sur une zone encore plus vaste.












Le palais de Topkapı perd progressivement de son importance à partir de la fin du XVIIe siècle, lorsque les sultans lui préfèrent un nouveau palais, le long du Bosphore. En 1853, le sultan Abdülmecid Ier décide de déplacer sa cour vers le palais de Dolmabahçe, premier palais de style européen de la ville, dont la construction vient de se terminer. Certaines fonctions, comme le trésor impérial, la bibliothèque, les mosquées et la monnaie restent à Topkapı.









Après la fin de l'Empire ottoman en 1921, le palais de Topkapı est transformé en musée de l'ère ottomane par décret du gouvernement du 3 avril 1924. Le musée du palais de Topkapı est, depuis, placé sous l'administration du ministère de la culture et du tourisme. Si le palais comporte des centaines de pièces et de chambres, seules les plus importantes se visitent. Le complexe est surveillé par des fonctionnaires du ministère ainsi que des gardes de l'armée turque. Il offre de nombreux exemples de l'architecture ottomane et conserve d'importantes collections de porcelaine, de vêtements, d'armes, de boucliers, d'armures, de miniatures ottomanes, de manuscrits de calligraphie islamique et de peintures murales, ainsi qu'une exposition permanente du trésor et de la joaillerie de l'époque ottomane.





La fontaine du bourreau. C'est à cette fontaine que le bourreau de l'époque venait laver son sabre après avoir effectué sa besogne.







Porte du Salut (3)
Bab-üs Selam
Deuxième Porte ou Porte du Milieu (Ortakapi)
1524
La Porte du Salut à l'aspect médiéval, dessinée et construite par des prisonniers hongrois, permet d'accéder à la deuxième cour. Edifiée au temps du temps du Sultan Mehmet II (1451-1481), elle subira de nombreuses restaurations. La partie supérieure et les côtés de la porte sont décorés d'inscriptions religieuses.





Le palais de Topkapı est répertorié parmi les monuments de la zone historique d'Istanbul. Il a été inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO en 1985, où il est décrit comme « un ensemble incomparable de bâtiments construits sur quatre siècles, unique par la qualité architecturale de ses bâtiments autant que par leur organisation qui reflète celle de la cour ottomane »











Il vous en coûtera 25 lires turc par personne; Divisez cette somme par 2.30 et vous l'aurez en euros.













Kubbeakti
Salle du Conseil Impérial

Le Divan (conseil des Ministres), qui se réunissait dans ce pavillon chaque mardi après la prière du matin, pouvait être secrètement être écouté par le Sultan caché derrière une grille. La salle de réunion des Vizirs est recouverte de magnifiques faïences d'Iznik.

Le palais de Topkapi
Samedi 24 novembre 2012, 15h30.Suite 1

Porte de la Félicité
Bab-üs Saadet
Porte des Eunuques Blancs

Cette porte de style rococo qui donne accès à la troisième Cour, était un lieu de festivité lors des grandes cérémonies, des fêtes religieuses, et du départ en campagne.




























Mosquée des Pages Blancs
Ak Agalar Camii
Lieux de culte
Cette mosquée, la plus grande du Palais, sera transformée en bibliothèque en 1928. Elle renferme aujourd'hui les 13.500 manuscrits du Palais.


















Mosquée "Sofa"
Lieux de culte - 1809
Cette petite mosquée sera construite sous le règne du Sultan Mahmut II (1808-1839).












On a une belle vue sur le Bosphore.
Il ne pleut pas encore mais il ne saurait tarder.

Le palais de Topkapi
Samedi 24 novembre 2012, 15h30.Suite 3

Pavillon de Bagdad
Bagdat Köskü
1639
Ce pavillon construit par le Sultan Murat IV pour commémorer son expédition à Bagdad permet d'observer la Bosphore et la Corne d'Or.


























Voilà, c'est tout ce que nous avons pu voir.
Puis nous quittons sous la pluie.
On sait que demain dimanche il fera beau. Ouf !









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Samedi 24 novembre 2012, 19h00
Repas dans notre restaurant préféré à 400 mètres de l'hôtel.[b]

[b]Au menu, Agneau pour moi et anne marie a pris des escaloppes de poulet grillées

Le Palais de Dolmabahçe
Dimanche 25 novembre 2012, 9h30

Nous prenons le Tram Train sur l'artère principale à 150 mètres de l'hôtel pour prendre la direction du palais de Dolmabahçe.
Le transport nous a coûté 3lires turc par presonne. C'est simple. Vous vous rendez à une station de tram et grâce au distributeur de jeton, vous introduisez 3 pièces de 1 lire turc et il vous donne un jeton. Puis vous allez vers les tourniquets et vous introduisez votre jeton pour accéder au quai. Le seul contrôle qui existe se trouve là car il y a un agent de sécurité qui vous regarde. Par la suite, il n'y a plus de contrôle.
Nous allons en direction de l'europe puisque nous passons le pont de Galata qui nous fait quitter l'Asie pour entrer dans la partie europe de la Turquie. Nous descendons au terminus et le palais se trouve à 300 mètres en bordure de mer.
J'ai matérialisé notre itinéraire par une série de flèches bleues.
Toutes les photos qui suivent ont été prises à partir du tram train qui, je le précise est très confortable et pas tagué du tout. Nos petits jeunes des banlieues feraient bien de venir s'éduquer ici.





































Nous franchissons le pont de Galata pour accéder à la partie européenne de la Turquie.
Les Pêcheurs sur le pont de Galata sont là tous les jours, juste au-dessus de la galerie de restaurant qui coure sous le pont. Ils vendent leur poisson aux différents restaurants .























































Nous voilà au terminus. Tout le monde descend.















Après avoir admiré le port, les bateaux et la mer, nous nous dirigeons vers le palais de Dolmabahçe qui est à 300 mètres environs. Il suffit de longer le port.



Encore des chats. Si vous aimez les chats, à Istanbul vous serez au paradis car il y en a partout. Tous sauvages bien entendu...

Le Palais de Dolmabahçe
Dimanche 25 novembre 2012, 10h15, suite 1.

Nous sommes presque à l'entrée.



Nous y voilà...



















L'entrée coûte 25 lires turc par personne. Divisez cela par 2.30 et vous avez la somme en euros.

Le Palais de Dolmabahçe
Dimanche 25 novembre 2012, 10h30, suite 2.

Il fait beau, le palais est pas mal du tout et surtout, les jardins sont entretenus.




















Au moment de la formation de notre groupe de visite, on nous a demandé d'enfiler des protections nylon aux chaussures.











Là le responsable nous a interdit de prendre des photos, nous précisant même en anglais que l'ensemble du bâtiment était sous vidéosurveillance et que des agents patrouillaient.
Ni une ni deux, tout ce qui est interdit l'est pour les autres, pas pour moi. J'ai pas fait tous ces km pour ne pas vous ramener de belles photos de l'endroit. Non mais défois !
J'ai donc été très vigilent. Appareil pendant autour du cou, réglé sans flash et sur 1000 iso. Un doigt sur le déclencheur que j'actionnais en toussant pour masquer le bruit. Tout le monde regardait mon appareil mais moi je faisais comme si j'admirais la salle. Tout s'est bien passé, suivez le guide.
Malheureusement je n'ai pas pu tout prendre car quand j'étais véritablement surveillé, je ne touchais pas à mon appareil.









Vous le voyez le panneau où l'on voit clairement sur sa droite un appareil photo barré de traits rouges ?


























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